Littérature équatorienne : traduction de Benjamin Aguilar (sélection)
Gabriela Aleman, La mort fredonne un blues Elle était affalée sur le lit, n’ayant pas la moindre intention de se lever, quand elle se souvint des lignes. La veille au soir, elle avait tracé une ligne diagonale sur les quatre lignes verticales, à côté, il y en avait cinq autres ; elle les avait tracées sur […]
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